CONFESSIONNAL : Aujourd’hui, je me mets à poil !
Je n’ai pas finit mon « chemin » aka perte de poids + galbage de booty-shake :), mais j’ai atteint la semaine dernière -17kg, et des jolies gambettes à force d’efforts et de sueur depuis 6 mois. Comme tout ça est un peu frais, j’ai encore un peu de mal à ajuster mes émotions par rapport à ces changements. On en reparlera je pense, mais en tout cas, histoire de partager avec toi et te faire déculpabiliser, voilà tous les trucs qu’il « ne faut PAS faire » (selon blogs, coachs sportifs, etc) et que j’ai fait depuis 6 mois :
– Je me pèse tous les jours : voilà, c’est dit. Je crois que c’est la chose dont j’ai le plus honte. Je ne suis pas obsédée par le chiffre, mais j’ai besoin de savoir où j’en suis. Me penser tous les jours m’a appris à appréhender mes variations de poids plus sereinement, à relativiser lorsque j’ai atteint mon dernier plateau le mois dernier, à comprendre à quel moment se répercutait les écarts (environ 2/3 jours – ça se compte en 100ènes de gramme j’te rassure). Cela me permet aussi de savoir que tout n’est pas relié à mon poids (genre je sais que je prends aussi du muscle, parce que je rentre mieux dans mon jean alors que mon poids ne change presque pas). Bref, me peser, c’est mon point de départ de la journée.
– Je m’achète des « vêtements-objectifs » : la balance, je sais qu’elle ne donne pas toujours les résultats que j’attends. Surtout quand on en est aux « derniers kilos » bien planqués entre le fessier et les hanches, là. Du coup, rien de plus efficace que de faire le test-du-jean-taille-plus-petit histoire de se rendre compte en live que les efforts payent. J’ai passé 2 jeans comme ça, la prochaine, c’est une robe moulante (Madame-Fitness n’a peur de rien :). Je sais qu’à un moment je me prendrais une bonne claque parce que j’aurai un objectif intenable (et que j’aurai claqué ma paye dedans). L’important, c’est d’le savoir non?
– Je ne mange pas goûter/snack pré ou post workout / course / fitness. Quoique je fais des efforts récemment en me faisant des petites bouchées noisette-papaye, mais naturellement, j’ai un peu de mal de « remanger mes calories (ou à les pré-manger d’ailleur) »…et si durement brulées. Alors oui, c’est pas top, mais je pense que j’ai encore bien de la marge avant d’affamer mon corps/le vider de toute son énergie et que pour l’instant tout va bien. Généralement, je m’entraine le soir, avant de manger, ou le matin après un petit déjeuner léger.
Comme je sais que ce n’est pas top top et que je ne veux pas rester ignorante toute ma vie, je suis en phase de test de shake de protéines. Je ne suis pas hyper convaincue encore, je vous en parlerai quand j’aurai fait le tour de la question !
– Je me compare aux autres. Avant c’était tout le temps, maintenant, ça va un peu mieux (Madame-Fitness aurait-elle pris la confiance WESH ?). Alors, je m’attaque à tous le monde : les filles musclées que j’envie, les rondes que je trouve bien dans leurs corps et dont j’aimerai avoir la confiance, les fines dont je me dit qu’elles ont dû travailler upper dur pour en arriver là… Bref, j’admire un peu tout le monde et je sélectionne mentalement tout ce que j’aimerai chez les autres. C’est un peu mes fitmotivations :).
– Je culpabilise quand je ne suis pas mon programme, que je ne perds pas de poids, quand je fais un écart. Fort.
– Je dors moins qu’avant. Faire du sport, surtout le soir, m’électrise un peu, et du coup j’ai du mal à dormir avant 1h du mat’. C’est mauvais parce que le sommeil est très très bon quand on est sportif. Du coup, petit à petit, j’essaye de changer ma routine et de me lever plus tôt pour faire du sport le matin. C’est assez génial d’ailleurs.
Bon, il y en a assez pour aujourd’hui non ? En tout cas, jusque là, je tiens le coup !
Moralité : go with the flow !
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